L’avilissement d’Aurore – Partie 05
Chapitre 9 – Adieu Président, bonjour voisin!
Alors que la subalterne s’était résolue à subir pendant de nombreuses années encore les harcèlements lubriques et vicieux du Conseiller régional, les élections législatives en décident finalement autrement : suite à son excellent score et, dans la foulée, sa brillante élection comme Député à l’Assemblée nationale puis sa désignation en tant que Ministre de la Santé et de la Famille, Daniel Guérin est contraint d’abandonner tous ses mandats locaux et de partir séance tenante vers la Capitale.
Il ne peut évidemment plus se permettre d’être au centre du moindre éventuel scandale, aussi s’arrange-t-il pour que l’employée regagne l’Administration avec une nouvelle promotion à la clé. La Secrétaire de Cabinet est soulagée de ne plus avoir à se soumettre à cet infâme personnage. Une surprise de taille l’attend toutefois.
La veille de leur départ à tous les deux, dans des vies différentes, le futur Ministre convoque sa future ancienne subordonnée : – Chère amie, nos chemins se séparent ici.
Crois bien que j’aurais aimé poursuivre notre relation à la fois profonde et enrichissante! Mais la politique a ses raisons que le cœur ignore, n’est-ce pas? Sois rassurée : je suis le seul à détenir les vidéos et les photos de tes “exploits” sexuels.
La femme, suite à ces propos rassurants, est immédiatement libérée du poids incommensurable pesant sur ces épaules. Pervers et surtout sadique jusqu’au bout, le futur ancien Président la poignarde toutefois lorsqu’elle s’y attend le moins : – Ce serait toutefois dommage que tu cesses de t’amuser et de ne plus laisser libre cours à tes pulsions malsaines qui, visiblement, te donnent beaucoup de plaisir…
Aussi, il y a quelques jours, me suis-je rendu chez ton voisin, Pierre Durand, je crois, pour lui expliquer ta situation. Un bien brave homme, soi-disant en passant. Veuf, retraité, il s’ennuie à mourir et s’est montré intéressé de mieux te connaître. Il te contactera prochainement. D’autant qu’avant ta réintégration, ton Directeur général a décidé, à ma demande, de t’accorder un congé exceptionnel de deux mois avant de reprendre ton travail. J’espère que cette bonne nouvelle te satisfait pleinement!
Avant d’ajouter, un sourire en coin : – Et surtout, ne me remercie pas! Je le fais avec plaisir! Tu peux rentrer chez toi, maintenant! Au fait, j’ai donné à ce type l’ensemble de tes photos et vidéos! Bien évidemment, les seuls visages “floutés” sont le mien et ceux de Vincent et Jean-Marie. Ton voisin te remettra peut-être un jour tout ce matériel, lorsqu’il se sera lassé…
Prenant immédiatement la route du retour en voiture après ce court entretien, qui l’a moralement détruite, Aurore pleure à chaudes larmes. Elle croyait enfin être débarrassée de toutes les dévalorisations subies et voilà que l’enfer allait recommencer.
Le voisin! Il ne manquait plus que celui-là! pense-t-elle. Habitant à quelques mètres de la maison sociale achetée il y a un an par son mari et elle-même, il est du genre plutôt discret et a l’air perpétuellement renfrogné. Agé d’une bonne soixantaine d’années, il est bedonnant et affiche un visage rougeaud, signe d’un penchant pour la bouteille. Trois jours plus tard, tandis que l’époux de l’ancienne Secrétaire de Cabinet est parti travailler, l’assistante administrative, qui vient de se doucher, entend frapper à la porte. Enroulant une serviette de bain autour de sa taille, le corps encore un peu mouillé, elle s’en va ouvrir. Dupont se tient dans l’entrée et, brusquement, la gifle violemment en hurlant comme un fou sur la charmante fille :
– Plus jamais, quand tu es seule, tu n’ouvriras ta porte en étant habillée! Daniel Guérin avait raison! Je vais devoir m’occuper de ton éducation! Enlève ta serviette! Et ne pas fait ta prude! J’ai déjà regardé quelques films résumant tes perversions!
– J’ai été victime d’un chantage! sanglote-t-elle.
Une nouvelle claque s’abat sur la joue de l’auxiliaire : – Tais — toi! Je t’ai dit t’enlever ta serviette! Désormais, et c’est la dernière fois que je te le dis : tu seras à poil quand tu seras à la maison, sauf si je te donne des instructions particulières. C’est enregistré?
– Oui, c’est compris.
Un troisième coup est porté tandis que le voisin crie : – On dit, oui, Monsieur!
– Oui, Monsieur.
De Kızılay travesti peur d’être à nouveau frappée, elle laisse tomber sa serviette à ses pieds, dévoilant ses seins ronds et son sexe. Invitée à lui montrer sa chambre, elle sait, en ouvrant la marche qu’il regarde avec envie ses magnifiques fesses, fermes et haut perchées.
Une fois dans la pièce conjugale, le pensionné observe minutieusement et dans les moindres détails chacun des vêtements appartenant à Aurore, y compris ses dessous…
– Il va falloir améliorer la façon dont tu t’habilles! Je te donnerai tout à l’heure une liste de ce que tu devras acheter dès demain. Crois-moi, je vais t’apprendre la discipline et l’obéissance. Tu ne discuteras aucun de mes ordres, sinon tu seras sévèrement punie. Il est temps de te donner ta première correction! Redescendons!
Appuyée contre le canapé du salon, les jambes écartées et le cul cambré, la jeune mariée subit en silence les coups qui, de manière régulière, s’abattent sur ses globes fessiers, faisant rougir de plus en plus ceux-ci. Pierre reprend alors la parole : – Voici la liste des achats à faire. Ensuite, tu passeras demain avec tes emplettes, chez moi, à 15h précises, avant le retour de ton gentil petit mari, le sportif niais!
– Oui, Monsieur.
– A demain, salope! Au fait, ton bronzage s’est estompé depuis ton retour du Bénin : à partir de maintenant, tu iras au solarium une fois par semaine afin d’entretenir celui-ci. Dernière chose : donne-moi ton numéro de GSM. Je t’enverrai vers 14h30 quelques instructions concernant les vêtements que tu devras porter…
Jetant un œil sur les choses qu’elle doit se procurer, elle croit défaillir : il s’agit d’une panoplie de tenues, d’objets et d’accessoires trouvables uniquement dans un sexshop. Dès la fin de matinée, le lendemain, est se rend dans la ville la plus proche, non loin de l’endroit où elle vit, en périphérie. Après des visites dans deux magasins, elle a réussi à tout trouver : une tenue d’infirmière ultra-sexy, une autre d’écolière perverse (avec chaussettes montantes), un énorme gode noir couplé à un stimulateur de clitoris, des plugs anaux de différentes tailles, un dildo blanc et de taille normale, un chapelet anal, des boules de geisha, une bâillon-boule, un collier de chien, une paire de menottes pour les poignets et une autre pour les chevilles, une barre de contrainte cou-poignets (destinée à bloquer totalement les mains dans le dos), un écarteur buccal (pour empêcher la bouche de se refermer), une cravache, un plug anal doté d’une queue en crin de cheval. Aurore est horrifiée par tous ces ustensiles érotiques. Pierre lui a fait en outre acheter un pot de vaseline et différents lubrifiants vaginaux. Tout cela ne lui dit rien qui vaille.
Vers 14h30, Aurore reçoit un texto explicite du riverain : – Tu viens à pied jusque chez moi avec tes paquets. Tu porteras ta tenue d’écolière, sans rien dessous. Fais-toi deux couettes!
Heureusement, dans le lotissement où elle réside, les habitations se font face à face, de manière inversée : autrement dit, chaque arrière de maison débouche sur un jardin qui, à son tour, via une porte métallique à barreaux, conduit à la pelouse contiguë.
Ce sera au moins discret, soupire-t-elle.
A 15h précises, elle sonne à la porte de Pivert, vêtue comme demandé. Elle se sent ridicule avec sa mini-jupe à carreaux qui lui couvre seulement à moitié ses fesses et ses chaussettes assorties. Son chemisier, blanc et transparent, est noué sur le devant de sa douce poitrine. Enfin, deux couettes terminent le déguisement!
A peine entrée dans le salon, elle découvre que le voisin n’est pas seul : deux autres hommes de son âge sont installés, l’un dans un fauteuil, l’autre dans le canapé.
– Permets — moi, Aurore, de te présenter mes amis Martin Durand et Ernest Protin. Je les ai invités à partager cet après-midi en notre compagnie. Tu n’y vois pas d’inconvénient?
– Non, Monsieur.
Pierre s’adresse alors gaiement à ses copains : – Ne vous avais-je pas dit qu’elle était charmante?
Les deux répondent en chœur : – Absolument! Très jolie! Et habillée de manière plus que sexy!
La secrétaire rougit, consciente de dévoiler plus qu’elle ne cache ses très beaux attributs. Mais déjà Pivert lui donne des injonctions : – Bon, pose Kızılay travestileri tes paquets et va dans le fauteuil qui est libre. Pendant que Martin te filmera, Ernest prendra quelques clichés de toi. Tu es priée de suivre mes ordres à la lettre. Sinon, tu seras corrigée!
Après avoir été contrainte de s’enduire largement la fente et l’anus d’une épaisse couche de vaseline, cuisses largement écartées, une jambe posée sur chaque accoudoir, elle est invitée à se branler avec le gode noir qui, en même temps qu’il pénètre son vagin, stimule son clitoris. Les ordres fusent : – Passe ta langue sur tes lèvres !
– Sors la langue !
– Ecarte ta chatte avec deux doigts !
– Retourne-toi : écarte tes fesses! Ne bouge pas! Je vais te décorer!
Elle sent alors un plug anal s’introduire son œillet. Celui avec la queue en crin de cheval. Un bâillon-boule est également placé dans sa bouche, avant d’être fermé à l’arrière de sa nuque. Enfin, un collier avec une laisse est passé autour de son cou. Et voilà la femme blonde marchant à quatre pattes, une touffe de poils noirs dépassant de son anus, promenée comme une chienne et ne pouvant produire le moindre son.
– Salope, il est temps de t’apprendre l’obéissance! Je vais cravacher ton cul. Tu vas recevoir dix coups.
Et le voisin d’exécuter ses menaces. Prisonnière du gag, Aurore hurle de douleur, mais est réduite au silence. Son postérieur prend une couleur de plus en plus rouge. La punition, donnée sans aucune raison, se termine enfin pour l’assistante administrative.
– Il est temps de l’enculer! Durand, tu commences?
La Cheffe de service sent le gros homme -qui doit peser près de cent-vingt kilos- se positionner derrière elle, tandis qu’elle est toujours à quatre pattes et bâillonnée. C’est Pierre qui tient la laisse. Elle sent qu’on lui retire le gode anal. Une queue dotée d’un énorme gland lui succède, forçant l’anus lubrifié par la vaseline et coulissant sauvagement dans son rectum, de plus en plus vite, sans se soucier de ses cris étouffés. La bite plus qu’imposante lui ruine sa rondelle, violemment distendue par cette intrusion brutale, non voulue et, surtout, conséquente.
Le vieil obèse empoigne les seins et les malaxe âprement, tandis que ses burnes frappent la croupe alors qu’il redouble ses coups de boutoir, le corps entier de la fille étant secoué par les puissants assauts. Martin se réjouit de l’enculer : il veut l’abaisser et la dégrader. Aussi se contrôle-t-il le plus longtemps possible. Mais, après un bon quart d’heure, il ne peut se retenir d’éjaculer dans le cul de sa victime.
C’est ensuite au tour d’Ernest de lui succéder et de loger sa queue dans l’anus couvert de vaseline et de sperme. Lui aussi est particulièrement bien doté! Il est vrai que les trois hommes n’ont pas manqué de prendre chacun une dose de viagra afin non seulement d’augmenter leur endurance, mais aussi la grosseur de leur pine.
Une fois à moitié enfoui en elle, Protin se positionne mieux pour parfaire son intromission.
Il se concentre quelques instants, compte jusqu’à trois et d’un coup de rein l’embroche. Elle ne peut retenir plusieurs geignements étouffés, tandis que des larmes coulent sur ses joues. Le sexagénaire, chauve et à la propreté douteuse, la défonce ainsi sans ménagement pendant plus de vingt minutes. Enfin, ayant rempli son intestin de foutre chaud, il cède sa place à Pivert, qui de son côté lui donne la laisse.
Le voisin, à son tour, entreprend de l’enculer vigoureusement, coulissant sans pitié dans l’œillet distendu. La torture dure un peu moins d’une demi-heure. Repus et satisfaits, les vieux la renvoient chez elle, dans sa tenue d’écolière. Ils ont gardé les gadgets érotiques qui ont servi, Pierre invitant la blondinette à revenir chez lui le lendemain, à la même heure, toujours habillée de manière aussi grotesque.
Ses amis seront là.
Le jour d’après, après l’avoir obligée à se déshabiller, il place la barre de contrainte dans son dos. S’étendant du cou jusqu’aux poignets, elle empêche ceux-ci de bouger. L’obligeant à se mettre à genoux, il lui glisse ensuite un écarteur circulaire en caoutchouc dans la bouche. Il se place face à elle et engouffre sa queue dans la cavité ainsi maintenue ouverte. Il l’agrippe par ses couettes et la force à engloutir la Travesti kızılay totalité de son membre dans la bouche ainsi asservie.
Elle cherche à repousser de la langue cette mentule envahissant sa gorge, mais rien n’y fait : le pieu de chair se met à coulisser de plus en plus vite entre ses lèvres bloquées.
Martin, prenant sa ceinture, se met alors à lui fouetter les fesses, Aurore s’étouffant de douleur. Le voisin encourage son ami : – Quelle sensation de sentir ses cris s’écraser sur ma bite! Vas-y plus fort, mon pote! Durand s’acquitte de cette tâche avec un plaisir redoublé, la croupe recevant quatre violents coups, tandis que fou d’excitation, Pivert déverse son foutre chaud au fond de la gorge de la mariée :
– T’es vraiment une sacrée suceuse, salope!
Les yeux fermés, elle n’a pas d’autre choix que d’avaler le sperme sans en perdre une goutte.
– Passe-moi ton ceinturon, Martin! demande alors Pierre : – Je vais la fouetter à mon tour pendant que tu lui mets ta queue en bouche! Tu vas voir comme c’est bon de se faire sucer alors qu’elle crie de souffrance! Son ami fourre de suite sa pine entre les lèvres béantes et guide la tête de l’employée, se servant de ses couettes pour l’attirer vers lui. Le voisin, lui, cravache férocement le derrière de l’auxiliaire. Le même scénario se reproduit avec Ernest. Pleurant à chaudes larmes, elle est finalement libérée de la barre de contrainte et de l’écarteur. Ses trois tourmenteurs terminent cette séance à la limite du sadomasochisme en lui passant un baume apaisant sur son cul, non sans lui enfiler un doigt dans son œillet.
Le lendemain, toujours selon les instructions de Pierre, elle se rend chez lui, cette fois totalement nue. Fort heureusement, personne n’a l’air présent dans les alentours immédiats. Quelques instants plus tard, la malheureuse est forcée de s’empaler sur la bite de Durand, qui s’est allongé sur le tapis du salon. Protin, lui, s’enfonce dans sa bouche. Pivert, qui lui masse l’anus avec la vaseline, positionne ensuite son gland contre celui-ci : — Tu vas avoir une rude expérience cet après-midi, salope!
Pour la première fois de sa vie, elle connaît une triple pénétration, étant baisée simultanément dans tous ses orifices. Elle tremble de tous ses membres sous les puissants assauts de ses violeurs déterminés à ne pas l’épargner. Comme la veille et l’avant-veille, tout est filmé. Ils profitent pendant des heures de son corps, changeant de position à chaque reprise, de façon à ce que chacun puisse se vider dans chaque trou.
Pendant une semaine, tous les après-midis, la secrétaire est invitée à se rendre chez Pierre. Elle y est cravachée sur les fesses, les seins, les cuisses et même parfois sur la plante des pieds, avant d’être sauvagement baisée et enculée. Elle n’ose plus se montrer dénudée devant son mari, de peur qu’il ne découvre les stries bleutées ou roses marquant son corps. Suite à un tel traitement, elle est devenue soumise. Un claquement de doigts ou un simple sifflement suffisent désormais à la faire obéir aux vieux pervers : elle lèche leur scrotum, suce leurs doigts de pieds en mimant des fellations obscènes, mange à quatre pattes dans une écuelle tandis qu’elle est sodomisée. Les sexagénaires poussent le vice à venir un jour chez elle et à la prendre en triple pénétration dans le lit conjugal. Une seule fois, elle n’a pas respecté la consigne d’être nue à la maison lorsqu’elle est seule : après avoir été punie à coups de ceinture, elle a été contrainte de commander une pizza et de séduire, à son arrivée, le livreur. Ce qu’elle fait, en l’accueillant dans le plus simple appareil, le suppliant de pouvoir le sucer avant, à quatre pattes sur le carrelage du hall d’entrée, d’être prise en levrette.
La sentant sur le point de craquer nerveusement, son voisin, dans les jours qui suivent, décide de l’éloigner de son environnement habituel fait de sexe « hard » et de sévères corrections.
Prétextant à son mari le besoin de se ressourcer et de faire une nouvelle expérience professionnelle, elle est obligée par Pivert de postuler un contrat de remplacement de quinze jours comme employée administrative et surveillante dans un Lycée.
Le Directeur de l’établissement est un ami du retraité.
Cette séparation momentanée et temporaire avec Aurore n’est pas jugée traumatisante par son conjoint, prénommé Jean-Louis. Professeur d’éducation physique et sportive (EPS), coureur de fond émérite, l’intéressé vient d’être présélectionné pour faire partie de l’équipe nationale. Il voit dans ce petit « break » l’occasion de participer à des stages et à des entraînements intensifs.
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